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Bonjour,

Je me présente, Johann SPRUYT, idéaliste hypersensible et autodidacte originaire du Pas-de-Calais ayant la volonté d'apporter ma modeste contribution pour rendre ce monde plus humain. 

Jusqu'à mes 19 ans, j'ai vécu à Hesdin (62) où j'ai pratiqué quotidiennement les activités sportives suivantes : tennis, tennis de table, cyclisme, football, volleyball et basketball, ma grande passion !

Dès mes 15 ans, je voulais devenir éducateur sportif. Finalement il m'aura fallu attendre mes 29 ans pour commencer à en faire mon métier, après dix années de vadrouille entre Lille, Montpellier et Toulouse. C'est le club de basketball d'Alès (l'Entente ABC-JSA) qui a été le premier à me faire confiance. J'y ai passé quatre années très enrichissantes où j'ai pu y développer de multiples compétences en communication (création de site web, mailing, photos, rédaction d'un journal), en administration (rédaction de dossiers, organisation d'évènements, planning) et en animation (encadrement des catégories baby à seniors régionaux). 

Puis j'ai travaillé une année au lycée JBD d'Alès en tant qu'assistant d'éducation avec pour mission d'accompagner les élèves dans la réalisation de leurs projets (journée EcoDay, bal des Terminales, collecte pour les Restos du Coeur, création de groupes de musique, etc.).

Après cela, j'ai eu besoin d'aller découvrir de nouveaux lieux, de nouvelles personnes alors je suis parti en 2015 vers Poitiers, au club de Lusignan (PMB) et en 2017 vers St Etienne au club de St Galmier (ESB).

Pour boucler la boucle, retour dans le Languedoc en 2019 au club de Castelnau (CAB) puis Mauguio (MOGBA) avant que la pandémie ne vienne perturber grandement la pratique des activités sportives. Au printemps 2022 j'ai décidé de créer ma microentreprise, Espridyllik, en espérant pouvoir accompagner un maximum de jeunes et d'adultes dans leur épanouissement personnel. 

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Pourquoi créer Espridyllik ? 

Enfant, j'étais très bon élève pour autant j'ai mal vécu ma scolarité car je ne comprenais pas le comportement de certains élèves entre eux et encore moins le comportement de certains enseignants envers les élèves en difficulté notamment.

Autre raison, quand j'étais jeune joueur, lors de mes entraînements de basketball, il m'était insupportable que le coach crie autant sur nous et spécifiquement sur les joueurs moins performants aux entraînements et aux matchs devant les familles.

Et enfin, à 29 ans, lors de ma première année de coaching, je me suis servi de mon expérience personnelle et de l'observation des autres entraîneurs du club. A la fin de cette première année, je n'étais absolument pas épanoui alors que j'avais rêvé faire ce métier depuis mes 15 ans. 

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J'ai donc passé l'été 2010 à remettre en question la vision traditionnelle du métier d'éducateur sportif. Je me suis replongé dans mes souvenirs de l'école Freinet où j'ai effectué un stage pendant mes études universitaires.

A partir de là, c'est tout un monde pédagogique qui s'est ouvert à moi. Montessori, Freinet, Steiner pour ne citer qu'eux me sont apparus comme une évidence.

Dans mon esprit, c'est à ce moment-là qu'est né Espridyllik, une symbiose des mots Esprit et Idyllique, qui définit parfaitement ma volonté de redonner du sens au métier d'éducateur. Un métier essentiel à mes yeux qui contribue au  développement moteur et social de chaque enfant, pour l'accompagner au mieux dans son épanouissement personnel. 

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Mais comment transposer ces pédagogies dans l'apprentissage du sport de compétition ?

Cela fait douze années que je multiplie les recherches et expérimentations auprès de toutes les catégories avec des hauts et des bas face à la persistance mentale de certain.es adultes, qu'ils soient joueurs, joueuses, parents ou dirigeants. A ma grande joie, au fil des années, j'ai constaté de plus en plus d'adhésion à mes principes pédagogiques. 

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Selon les catégories, l'approche pédagogique est différente. On part du développement moteur à travers une approche sensorielle pour les U7/U9, puis en grandissant (U11/U13) l'objectif est de développer leur autonomie, leur autodiscipline afin de pouvoir les responsabiliser ensuite en U15/U17. Par ce biais, ils atteignent l'âge adulte en étant autonome et responsable quel que soit leur niveau sportif.

Aujourd'hui, je suis heureux de pouvoir dire que l'on peut remplacer l'autorité par l'autonomie et la discipline par l'autodiscipline, même dans l'apprentissage du sport. Ce n'est pas un long fleuve tranquille mais c'est un chemin passionnant et épanouissant aussi bien pour les éducateurs et éducatrices que pour les enfants, ados et parents.

 

En plus de l'accompagnement pédagogique, grâce à mes diverses expériences professionnelles, j'ai développé de multiples compétences pour aider les associations sportives à se développer et ainsi offrir de nombreux outils adaptés aux besoins de chacune d'entre elles.

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